jeudi 25 février 2016

Naissance de la vigne et du vin








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Naissance de la vigne et du vin raconte l’aventure spectaculaire et fascinante du vin depuis l’aube de la civilisation, il y a plus de 7 000 ans, et démontre son rôle essentiel depuis la nuit des temps dans l’art de vivre raffiné, loué à la fois par le poète et le chercheur.

Patrick McGovern nous emmène dans un étonnant voyage aux temps des premières expérimentations de la fabrication de ce célèbre breuvage dans les tout premiers villages du Moyen-Orient. Même avant l’essor de la civilisation, il imagine nos ancêtres hominidés en train d’apprécier un « beaujolais nouveau du paléolithique ». Au cours de son voyage dans le temps, décrivant les premiers vins d’Égypte, de Mésopotamie et de Terre sainte, il crée une nouvelle synthèse du caractère central du vin dans l’histoire de l’homme, qui regorge de notions tirées de l’archéologie moderne, de la science et des arts. Il raconte comment le vin soulageait et guérissait les corps des êtres fatigués, enflammait l’imagination des artistes, animait les célébrations de toutes sortes, accompagnait les rois et les bourgeois dans l’au-delà et devint même l’incarnation symbolique de la vie elle-même.

« Nous commémorons cette histoire chaque fois que nous versons un verre de vin et savourons le produit de cette plante eurasienne clonée, croisée, transplantée, depuis ses origines au Proche-Orient, il y a plus de 7 000 ans [...]. La plupart des histoires de la vigne et du vin commencent là où celle-ci se termine. Elles s’appuient principalement sur les textes grecs et romains [...]. Ce livre a pour objet d’éclairer cette “préhistoire”, cruciale mais en grande partie cachée, du vin et de son développement depuis l’âge du bronze jusqu’à eux. »

Étienne Akar (www.oeno.tm.fr)

L'auteur 

Patrick McGovern dirige le laboratoire d’archéologie moléculaire de l’université de Pennsylvanie.

Il utilise dans ses recherches l’archéologie moléculaire ‒ technique émergente d’analyse des traces laissées par l’activité humaine ‒, l’analyse génétique (analyse ADN) conjointement à l’étude des mythologies.

Son ouvrage a reçu plusieurs prix, dont le Grand Prix de l’Organisation internationale de la vigne et du vin.

Climat : Un scandale planétaire





La pollution de l’air par les gaz à effet de serre s’amplifie. La température de notre planète ne cesse d’augmenter. Les glaciers, la banquise, les calottes glaciaires ont commencé à fondre. La mer grossit et sa surface s’élève. Il n’est plus possible de nier la réalité de l’ensemble de ces phénomènes. Leur existence a été démontrée par une multitude de constats, d’expertises et de données scientifiques allant des clichés photographiques étalés dans le temps et de l’utilisation d’appareillages sophistiqués jusqu’aux données satellitaires d’une très grande précision.


L’humanité et surtout ses dirigeants ne veulent pas prendre en compte l’ampleur du problème et de ses conséquences. On s’attend à un chamboulement des zones climatiques, des écosystèmes naturels, des espaces d’exploitation agricole et d’élevage, au dérèglement d’une mer dénaturée, appauvrie, dangereuse, à une perturbation générale de la biodiversité, à la disparition d’un nombre très élevé d’espèces végétales et animales. Des centaines d’îles et de nombreux rivages continentaux, certains pays même, vont disparaître, submergés par les flots, provoquant le déplacement de millions de réfugiés climatiques affamés et désespérés.


Cette menace a été examinée à l’occasion des sommets de la Terre et autres réunions internationales, mais les pourparlers n’ont pas abouti aux décisions nécessaires pour stopper le processus en marche. La conférence COP 21, qui vient de s’achever à Paris ‒ pourtant qualifiée de « réunion de la dernière chance » ‒ s’est encore soldée par un échec, laissant libre cours à un processus qui ne va pas tarder à s’emballer et à devenir irréversible. Pourtant les moyens d’arrêter un tel désastre existent et il aurait fallu les mettre en œuvre sans délai, avant qu’il ne soit trop tard !


L’auteur

Docteur d’État, maître de conférences honoraire à la faculté des sciences de Marseille-Luminy, professeur honoraire à l’École nationale des travaux publics de l’État, Henry Augier a été à la tête d’un laboratoire spécialisé dans l’étude des nuisances. Il fut également responsable de l’enseignement de la molysmologie (science des pollutions) à l’université de la Méditerranée et expert consultant international sur les problèmes de pollution et de protection de la nature. Engagé dans de nombreuses actions de sauvegarde de notre environnement, il continue à œuvrer au sein de multiples associations pour une meilleure qualité de vie et pour tenter de laisser aux générations futures un monde tolérable. Il a écrit beaucoup d’ouvrages de vulgarisation scientifique consacrés aux dangers majeurs qui nous menacent.

La Révolution de la proximité

Devant les crises diverses qui se succèdent au sein de nos sociétés et face au mal-être engendré par notre mode de vie, des milliers d’initiatives locales voient le jour.
De nombreux mouvements intégrant des valeurs altruistes de partage, de solidarité, de fraternité, de coopération se créent. Certes, ils ne sont pas fédérés. Mais ils sont là ! Ils génèrent de multiples expériences sur le territoire et ailleurs, dans tous les domaines : culturel, agricole, social, économique…
Après plusieurs décennies de globalisation forcée, de marchandisation tous azimuts, c’est bien la réponse de la relocalisation qui s’impose comme la solution majeure aux dérèglements. Quête de l’autonomie alimentaire et énergétique, retour de la citoyenneté au sein de la vie de la cité, créativité culturelle : voilà les maîtres mots de la révolution en cours.
Regarder chaque chose de la vie avec le prisme de la proximité change l’imaginaire. Être dans l’action – que ce soit dans la sphère domestique, familiale, associative, entrepreneuriale ou encore politique – est non seulement possible, mais indispensable.
Ce nouvel état d’esprit, souvent méconnu, parfois ignoré par les institutionnels, toujours combattu par les tenants des différents pouvoirs, est le seul moteur pour imaginer un monde nouveau dans lequel l’humanité construira son avenir.


Spécialiste du développement local, par sa formation et son expérience (Directeur du développement local au Conseil général du Puy-de-Dôme), Bernard Farinelli est un ardent défenseur des campagnes vivantes. Considéré comme un des principaux connaisseurs du phénomène des néo-ruraux, son intérêt pour le monde rural porte aujourd’hui sur l’économie locale, la relocalisation des échanges, les expériences de retour à plus d’autonomie au quotidien.

Chroniqueur à L’Esprit village (Village-Magazine) depuis avril 2000, Bernard Farinelli a publié de nombreux articles dans d’autres revues et est l’auteur de nombreux ouvrages sur le sujet.





Débat Nourriture & Liberté


Carlo Petrini et Serge Latouche 
« Je ne suis pas condamné à manger des choses pas bonnes parce qu’elles sont biologiques, parce qu’elles respectent la nature ». Carlo Petrini explique son cheminement de « la fourchette à la fourche » et sa lutte pour des produits bons, propres et justes. 






Bernard Farinelli
Bernard Farinelli, spécialiste du développement local, nous parle d'économie de proximité, pour des campagnes vivantes et des produits agricoles payés au juste prix.




José Bové 
José Bové dénonce le TISA (Trade in Service Agreement) ou ACS (Accord sur le commerce des services), contre lequel il appelle à se mobiliser. 



Linda Bédouet 

L'agriculture biologique et de proximité : une note d'espoir pour les agriculteurs. 
"On s'en sort. On n'est pas milliardaires, loin de là, mais on a aujourd'hui une vie qui a du sens."